Être 1er sur Google, le guide complet

Être 1er sur Google, le guide complet !

Sommaire

Être 1er sur Google, c’est un peu la consécration pour toutes les entreprises qui investissent dans le SEO. En tant qu’agence de référencement naturel, c’est aussi une demande récurrente et l’un des critères de jugement de notre travail. Seulement voilà, si le résultat paraît très clair pour tout le monde, “être 1er sur Google” ne signifie rien en soi. Pire, cela peut amener à certaines dérives du SEO. Mais pas de panique, on va prendre le temps d’expliquer ce qui entoure cette quête de la 1ère position, et voir ensemble tous les concepts que cela englobe. Alors accrochez-vous bien parce qu’on est partie pour un contenu bien dense et pour cracker l’algo Google… Enfin presque !

Être 1er sur Google, ça veut dire quoi ?

Avant d’aller dans le fond des choses et de parler de leviers, d’actions et de bonnes pratiques, il est nécessaire de bien comprendre de quoi l’on parle. Le fait de cadrer le sujet n’est pas une simple introduction. Car bon nombre d’incompréhensions clients commencent ici. Voyons voir pourquoi.

La 1ère place SEO c’est quoi ?

Tout d’abord, il est nécessaire de comprendre la notion de SERP pour Search Engine Result Page. En bref, les pages que vous propose Google pour formuler une réponse à vos recherches. Voici un exemple :

SERP Google en SEO

Sur cette requête, vous pouvez voir une SERP de Google pour l’expression clé “défintion SERP”. Ici, nous pouvons remarquer que la 1ère position SEO est tenue par le Journal du Net. Seulement, les SERP peuvent proposer de nombreux types de contenus différents :

  • Image
  • Actualité
  • Publicité
  • Vidéo
  • Google maps
  • Question fréquente
  • Contenu enrichi

Autant d’éléments qui peuvent repousser la fameuse première position. Dans certains cas, le SEO ne sera même pas présent en dessous de la zone de flottaison (ce que vous voyez à l’écran avant de scroller).

SERP enrichi de Google

En fonction de la requête, il faut bien savoir ce que vous recherchez. Car toutes les positions ne peuvent pas aller se chercher par un simple contenu sur une page.

Pourquoi la quête de la première place ?

Pour autant, soyons clairs, il est possible d’aller chercher la première page et même la première place pour votre site internet. C’est un objectif qui peut être pertinent, dès lors ou vous avez les moyens de vos ambitions. Mais alors pourquoi se lancer dans une quête de la position top 1 ? Tout simplement parce qu’une étude Sistrix démontre un taux de clic (CTR) presque 10 fois supérieur entre les positions top 1 et top 10.

CTR position SEO

Concrètement, cela signifie que si vous êtes premier en SEO sur l’expression “isolation des combles” qui représente 6600 recherches par mois, vous pouvez espérer environ 1881 clics vers votre site web, tandis que si vous êtes dixième vous obtiendrez 165 clics dans l’absolue. On ne parle ici que d’un seul mot clé… Je vous laisse imaginer le volume si vous êtes bien placé sur des centaines de termes !

La logique de mot-clé : générique vs longue traîne

Maintenant que l’on comprend mieux les SERP et la logique de position dans Google, il est temps de s’attaquer aux mots-clés. Car dans les faits, c’est là qu’un expert SEO va donner du volume à votre site. Un site web bien construit ne doit pas se contenter de se positionner sur une page et un mot mais un ensemble de contenu catégorisé. C’est ce que l’on appelle l’architecture SEO.

Exemple architecture SEO

Ici chaque élément correspond à une page est donc à un mot clé sur lequel vous allez tenter de vous positionner. Le site est donc catégorisé afin de proposer une bonne expérience, mais aussi d’être exhaustif sur les sujets à traiter. La tête du site représente votre page d’accueil (requête de notoriété) et toutes les pages en dessous, les pages profondes. Plus on descend en profondeur et plus les expressions sont longues. C’est le principe de longue traîne. Il faut donc définir vos mots-clés pour connaître le travail SEO à mettre en place. En fonction de votre secteur d’activité, le travail peut-être gigantesque et devra donc s’effectuer par pallier.

Les requêtes de notoriété, la subtilité qui change tout

En début d’article, nous vous avons parlé de bien définir votre besoin et des dérives potentielles sur la demande “être 1er sur Google”. Et bien c’est ici que ça se passe. Lorsque vous créez un site internet et que vous allez définir votre nom de domaine, la probabilité de passer premier sur votre nom de marque est quasi de 100%. Le “quasi” étant pour tous ceux qui achètent des domaines en “exact match” soit déjà sur un mot clé comme “livres-blancs.com” ou encore “seo-nantes”. Il s’agit d’un cas spécifique. Pour tous les autres, les requêtes de notoriété seront bien souvent votre toute première position SEO top 1 :

Requête de notoriété

En soi, cela n’est pas un problème. Seulement, certaines agences vendent des “packs” SEO avec cette étape comme une réussite. Hors, cela se fait naturellement justement. D’où le besoin de bien comprendre votre besoin en référencement naturel et ainsi étoffer votre demande pour ne pas tomber dans ce genre de dérive.

Comment être 1er dans le moteur de recherche ? Les critères de Google

Maintenant que tout est clair, il est temps de voir ce que vous allez devoir mettre en place sur votre site internet pour vous positionner sur tous les mots-clés qui vous intéressent. Les critères que nous allons vous partager ici sont liés à différentes études internationales ainsi qu’à notre expertise. Néanmoins gardez en tête que Google ne partage pas ses critères de positionnement ni les logiques de ses algorithmes. C’est d’ailleurs même souvent l’inverse avec des communications officielles qui vont plus dans le sens de la firme que de la réalité.

La stratégie, le pilier de votre travail

Nous l’avons déjà dit, mais avant de se lancer tête baissée sur les actions SEO, il va vous falloir définir votre stratégie. Notamment savoir quels sont les mots-clés sur lesquels vous positionner. Cela commence généralement par une étude lexicale (voir une étude de positionnement). Ce travail vous permet de donner un axe avec les mots-clés génériques et de longue traîne à cibler. Prenon l’exemple de l’immobilier :

Exemple de mots-clés dans l'immobilier

Juste sur cet exemple, nous pouvons retrouver de nombreux mots-clés différents. Mais nous en avons sélectionné 6 sur 1 759 638. Autant dire que les possibilités sont énormes. On pensera à des logiques telles que :

  • Programme immobilier : programme immobilier neuf – programme immobilier La Rochelle
  • Achat : achat immobilier – étape achat immobilier – achat immobilier Lyon
  • Location : agence immobilière location – immobilier locatif
  • Prix : prix immobilier Paris – évolution prix immobilier – diagnostic immobilier prix

Les exemples sont volontairement très simples mais il faudra délimiter le champ des possibles et vous assurer que l’intention marketing derrière un mot clé correspond à ce que vous proposez. Pour sélectionner vos mots-clés, nous vous conseillons notre article : “Comment définir ses mots-clés SEO ? Trafic, intention et pertinence”.

Enfin, attention à avoir les moyens de vos ambitions, car si certains mots-clés peuvent être intéressant sur le papier, vous allez voir maintenant la somme de travail à mettre en place… par mot-clé !

Autre élément majeur, n’hésitez pas à sonder les SERP, notamment pour voir quel type de contenu remonte en priorité. Sur un mot-clé, si tous les résultats de la 1ère page Google sont des articles de blog, vous aurez vite compris qu’il va être plus difficile de positionner une page produit. Adaptez donc votre stratégie en fonction.

#1 La technique, la performance en ligne de mire

La technique est le premier des 3 piliers historiques du référencement naturel. Ici, la logique est simple (sur le papier). Vous allez devoir travailler des critères pour montrer à Google que votre site respecte ses recommandations. Les critères techniques se comptent par centaines, mais parlons déjà des grands classiques :

Le temps de chargement des pages, le coeur du travail technique

Si vous n’avez qu’un axe à prioriser pour votre SEO sur la partie technique, c’est celui-ci. Car non seulement, il s’agit d’un critère de référencement naturel important, mais c’est aussi et surtout un critère pour l’expérience utilisateur. Optimiser vos temps de chargement passe souvent par des actions de base :

  • Choisir un hébergement plus qualitatif. Un hébergement dédié, spécialisé dans votre secteur ou technologie (WordPress, e-commerce) avec des performances aux tops, est souvent gage de qualité pour vos temps de chargement. Au-delà de ça, c’est aussi une bonne pratique pour la sécurité de votre site, car rappelons qu’une faille sur un serveur dédié et c’est la porte ouverte à votre site.
  • Compresser vos images. Le poids des images est souvent bien trop lourd et influence énormément le temps de chargement. Il est donc nécessaire de réduire leurs tailles au bon format, de les enregistrer pour le web, de les compresser et de les transformer au nouveau format comme le WebP. Le plugin Imagify sur WordPress est parfait pour répondre à toutes ses exigences.
  • Intégrer une politique de cache. Schématiquement, le cache permet d’enregistrer une copie de votre page pour la présenter à vos utilisateurs suivants. Ce travail est parfait pour ne pas recharger la page à chaque visite. Un classique pour travailler votre technique.

Pas d’indexation, pas de SEO !

La technique en SEO, c’est aussi vérifier l’indexation de vos pages. Surtout depuis que Google a commencé à préciser que tous les contenus ne seront pas dans son moteur de recherche. Car une page sur votre site n’est pas forcément dans Google. Cette notion est trop souvent oubliée des entreprises. Il faut donc vérifier régulièrement que tout est ok à ce niveau. De la même manière, pas question de supprimer des pages de votre site sans réaliser de redirection (n’est ce pas les entreprises dans l’immobilier et les agences RH ?).

Cette notion toute simple fait qu’un travail sur un contenu peut avoir aucun impact. C’est aussi une réalité terrain que l’on retrouve très régulièrement de la part d’entreprises qui nous contact car ils n’ont pas de résultats SEO.

L’accessibilité web, aller plus loin que le SEO

Travailler votre technique, c’est aussi mettre en place des actions d’accessibilités pour permettre aux visiteurs souffrants de handicaps visuels, auditifs, physiques ou encore cognitifs de pouvoir naviguer sur votre site. L’accessibilité, c’est avant tout essayer de suivre des règles d’intégration sur votre site qui facilitent le travail des outils d’aides à la navigation. Mais on ne va pas se mentir, les règles sont nombreuses et parfois techniques. On parle ici plus d’une obligation morale, mais sachez aussi que certaines de ces règles sont aussi reprises comme des critères SEO de l’algorithme de Google. C’est pourquoi l’idée est avant tout de les comprendre et pourquoi pas de les intégrer couche par couche.

Bien entendu, si vous êtes entouré de développeurs et que vous connaissez un peu la partie technique, il est possible d’aller encore plus loin sur l’ensemble de ce travail. On pourra parler de notions telles que le maillage interne, la minification, les balises canonicals, le sitemap,… Cela vous permettra de tenter d’obtenir des résultats les plus élevés possibles, comme a pu le faire le site d’alfie formation :

Exemple travail technique en SEO

#2 Le contenu pour vous rapprocher de vos cibles

“Le contenu est roi” ! Qui n’a pas entendu cette phrase en SEO ? Bien qu’il soit de plus en plus entouré de conseillers, il reste toujours roi et ceux quoiqu’en disent certains experts. Les sites aux contenus denses ont toujours de bonnes positions tandis que l’inverse fait plus partie de l’ordre de l’exception que de la règle.

On ne reviendra pas sur la notion de détermination des mots-clés, qui est déjà tout un sujet important du travail de contenu. En partant du postulat que vous avez vos mots-clés, il faut maintenant passer à la phase de production. Et il y a du boulot ! Prenons un exemple d’une architecture de site de 100 pages à produire (Pour ceux qui se posent la question, ce n’est pas énorme). Avec une moyenne de 800 mots par page, on optera pour environ 2h de travail par contenu (là aussi, ce n’est pas beaucoup et c’est un rythme plutôt soutenu). Soit donc, juste pour ce travail, 200h à prévoir (en gardant en tête qu’un mois de travail est d’environ 151h)… En plus de vos fonctions classiques. Un travail de longue haleine donc, qu’il faut bien prendre en considération avant de vous lancer.

Mais lorsque l’on parle de contenu, il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas que de texte. La multiplication de l’offre permet de toucher toutes les cibles et de proposer une expérience simple et efficace. En fonction de votre secteur d’activité, vous allez donc pouvoir proposer une valeur ajoutée avec des formats différents : vidéo, infographie, livre blanc, image,… Là aussi, attention à votre capacité de production avant de vous lancer dans l’opérationnel.

Pour le SEO, tous les contenus ont un attrait et peuvent se positionner. Même si l’on a tendance à plus souvent voir les choses par le prisme du contenu textuelle. Lorsque vous allez créer une page, vous devrez vous assurer de répondre à des critères importants :

  • La structuration du contenu : Un peu à la manière d’une dissertation, une page doit avoir un unique titre de 1er niveau (en SEO on appel cela le h1) et proposer plusieurs titres de deuxième niveau (h2). En fonction du propos, vous pouvez bien entendu avoir une profondeur plus importante.
Structuration du contenu en SEO
  • Le volume de mots d’une page : Si Google préconise d’avoir minimum 300 mots pour une page, il va de soi que certains sujets ne peuvent pas être traités avec si peu d’information. Pour connaître le volume minimum, identifiez les 10 premiers résultats SEO sur votre requête et faites un comparatif. Ça vous donnera une base de travail.
  • Pensez aux utilisateurs : L’UX design est toujours un élément clé de votre contenu. Il faudra vous assurer que tout le travail de mise en avant soit logique, pertinent, et qu’un utilisateur trouve facilement l’ensemble des informations. Si c’est facile à dire, rendre les choses simple et parfois très compliqué 😄

#3 La popularité, le critère de la confiance

Votre site est techniquement bien construit et vous avez rédigé un contenu de qualité sur un mot-clé ciblé ? Ok, mais vous n’êtes certainement pas le seul. Et à critère égal, qu’est-ce qui va faire que votre page va se positionner top 1 dans les moteurs de recherche vis à vis d’un concurrent ? Et bien c’est la popularité. Celle de votre page, mais aussi celle de votre site en règle générale.

En SEO, la popularité d’un site s’analyse par la quantité et la qualité des liens qui pointent vers lui. On appelle cela le netlinking. Pour faire simple, si un site internet est souvent mentionné par d’autres sites, alors c’est qu’il est considéré comme une référence.

Si la théorie est plutôt logique et simple, la pratique est, quant à elle, bien plus complexe. Car cela demande à Google de nombreux efforts de mise à jour de ses algorithmes afin de s’assurer que le tout soit “naturel”, cohérent et pertinent. Ce qui amène à tout un ensemble de critères et de règles qui, si elles ne sont pas suivies, peuvent amener à des sanctions importantes de votre site.

Un lien c’est quoi ?

Afin de bien comprendre, il est important de décortiquer ce qu’est un lien. Un lien, c’est en réalité différents éléments. Tout d’abord, l’adresse du lien. On parle de page d’atterrissage. C’est là que vous allez arriver en cliquant dessus. Vous retrouverez aussi l’ancre. Il s’agit des termes sur lesquels vous faites votre lien. Mais créons un exemple sur “sxo, définition et exemples”, on retrouve :

  • L’ancre de lien : sxo, définition et exemples
  • La page d’atterissage : https://upbyweb.com/seo/sxo-seo-nouvelle-generation/

Facile non ?

Quantité vs qualité, le grand débat

Tout d’abord, il est important de savoir qu’il est plus pertinent de miser sur la qualité que sur la quantité. Même si le must, c’est encore d’avoir les deux. Mais de quoi parle-t-on lorsque l’on dit “qualité” de lien. Il s’agit de lien avec les critères suivants :

  • Sur un site avec une bonne autorité. Des outils tels que Majestic SEO et Sem Rush donnent des informations sur l’autorité d’un domaine ou d’une page.
  • Sur une page qui traite d’un sujet proche de celui de votre page d’atterrissage. On évite les liens sur des articles qui parlent d’architecture pour un lien sur le SEO.
  • Avec une ancre de lien optimisée. Il s’agit là d’une ancre de lien qui correspond au mot clé viser par votre page d’atterrissage. Sur notre exemple, l’ancre de lien “définition SXO” ou encore sur “SXO” est plus optimisé que “cliquez ici”.
  • L’emplacement du lien a aussi son importance. S’il est dans le contenu, il sera aussi plus qualitatif que s’il est en footer ou dans une sidebar.

La notion de profil de lien

Pour que le tout ait l’air “naturel” au yeux de Google, le moteur de recherche a aussi mis en place une logique de profil de lien. Un profil de lien correspond à la typologie (et au %) de l’ensemble des liens que reçoit votre site. Pour être considéré comme normal il doit ressembler très approximativement à ça :

  • 50% d’ancres de marque : liens qui ont comme ancre votre nom de marque
  • 20% d’ancres nus : liens qui utilise votre url
  • 15% d’ancres génériques : liens de type “en savoir plus”, “lire la suite”
  • 5% d’ancres LSI : ancres sémantiquement proche de votre mot clé
  • 2% d’ancres à correspondance exacte : votre mot clé
  • 3% d’ancres partiel math : votre mot clé avec des termes complémentaires

Si dans les faits, il est impossible d’arriver à cette correspondance, il faut avant tout garder en tête que vous allez devoir avoir un profil de lien bien réparti.

Comment obtenir des liens

Vous l’aurez compris avec ces quelques lignes que le netlinking a de nombreuses couches qui complexifie le travail pour les néophytes. Soyons clair, nous n’avons ici que quelques explications mais cela demande d’aller encore plus loin. Mais alors, comment faire pour obtenir des liens ? Car c’est le nerfs de la guerre. Il existe différentes options mais dans notre cas, nous allons mettre en avant 3 techniques par ordre de priorité :

  1. Le linkbating : surement la technique la plus naturelle et la plus pertinente. Malheureusement, c’est aussi la plus longue à donner des résultats. Le Linkbating consiste tout simplement à créer des contenus de qualité (au sens large : infographies, guides, vidéos,…) pour que ces derniers soient cités comme référence par d’autres sites.
  2. Le guest blogging : Plus complexe mais tout aussi important, le guest blogging consiste à trouver des sites pertinents pour leurs proposer un contenu de qualité. Vous devenez rédacteur pour d’autres sites tout en proposant des liens vers votre site. Attention à ne pas minimiser ce travail, car pour être présent sur d’autres sites il faudra très souvent avec une bonne qualité rédactionnel et un sujet passionnant.
  3. L’achat et l’échange de lien : Rapide mais plus coûteux, l’achat et l’échange de lien et pour autant une stratégie souvent nécessaire. Il s’agit ici d’aller sourcer des sites qui proposent la vente de liens. Il existe notamment de très nombreuses plateformes proposant des sites pour le linking. C’est clairement la solution de facilité. Cependant, elle demande d’investir un budget publicitaire mensuel pour gérer le netlinking.

Et les autres critères ?

Au travers de cet article, nous avons mis en avant les principaux critères du SEO. Le but est avant d’expliquer à tous nos lecteurs, pourquoi le référencement naturel demande autant d’investissement et en quoi consiste un travail qualitatif sur ce levier. Mais comprenez bien qu’il n’y a ici que les grandes lignes. Un travail de débroussaillage qui permet d’avoir une vision plus claire. Car Google c’est plus de 300 critères SEO qui évoluent constamment au gré des algorithmes. Critères onsite, offsite, technique, réseaux sociaux, popularité, le tout avec une bonne dose de stratégie et vous comprendrez pourquoi la popote prend du temps à donner des résultats.

L’UX Design, la clé de la conversion

Le trafic c’est bien, la conversion c’est mieux. Et c’est l’un des éléments les plus importants à comprendre. Le SEO a pour objectif principal de vous apporter du trafic qualifié sur votre site. C’est une première étape dans la conversion. Mais en aucun cas il suffit pour obtenir des ventes ou pour générer des leads.

Si votre site est trop complexe, que l’offre est mal calibrée ou que l’internaute ne comprend pas votre proposition de valeur, le référencement naturel ne palliera pas à ce problème. Il est donc nécessaire de toujours bien penser à l’expérience utilisateur et aux parcours clients sur votre site, pour toutes les pages que vous allez être amené à créer.

Et malgré tout ça, la concurrence joue son rôle !

Dernier élément, car oui ce n’est pas fini si vous souhaitez être 1er sur Google, il va vous falloir penser concurrence aussi. Lorsque vous investissez en marketing digital, c’est exactement la même chose que pour les actions commerciales physiques. Votre concurrence, elle aussi, est en action. Il est donc important de continuellement suivre le travail de concurrents afin de piloter votre stratégie SEO.

Et donc, on est premier sur Google ?

Voilà, notre loooooong article sur le sujet est fini. Il n’est en rien exhaustif mais ce qui importe, c’est qu’il soit 1er sur Google… Enfin on l’espère et on va tout mettre en œuvre pour y arriver et que vous nous trouviez par ce biais !

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